J'ai à peine vingt-ans. Si tu me croises dans la rue ou en boîte, tu vas surement croire que je ne suis qu'un gars qui cherche draguer les filles pour, à la fin de soirée, coucher avec elle et l'autre jour dire: oh comme je suis un vrai man. Pourquoi j'en suis sûr? Tout simplement, parce que 85% des jeunes de mon âge le font. Raison? Je ne sais pas, c'est un peu evident pour vous expliquer, mais à vrai dire je ne suis pas debout à 3 du matin pour vous en parler.
Je suis venu pour vous écrire les premiers mots d'un vainqeur. Les JO sont finis, mais j'ai reçu ma médaille d'or avant-hier par courriel(mon visa). Ainsi bien que tous les athlétes, j'ai dû attendre 4 ans et 4 putain de semaines ennyuantes qui m'ont fait chier. Désolé, je n'aurais pas dû écrire ces mots,ce ne sont pas des mots d'un homme de Lettres, mais plutôt d'un jeune qui a beaucoup attendu, souffert et travaillé pour réussir,d onc ce sont les meilleurs mots pour décrire ce qu'il sent dans ce moment.
Il y a quelques mois quand j'ai fait ce blog, j'ai écrit un texte nommé "Ce sont les rêves qui nourrissent la vie". Bon, là j'ai encore faim, car je viens d'atteintre mon but, j'ai enfin pu vous dire quand je vais commencer à faire mes études, quand je vais partir. What's am i doing now? To thanks.
Je dis toujours à mes potes qu'ils doivent faire une réseau social s'ils veulent vraiment "grandir", "changer". Je ne dis pas, "save money". J'ai dit: bouleversement. Pour qu'il y en aie un quand on est issu de la banlieue et d'une ville provinciale comme Salvador, il faut bien se préparer, bien maitriser ce que tu as en tête et savoir bien élargir sa réseau social.
Je vous explique pourquoi j'ai cité 2 fois cette même expression: je vois chaque personne comme un bras que je n'appartiens pas, donc à chaque personne que je connais bien, que je raconte ma vie, mes galéres et mes joies, je gagne un bras de plus. Quel qu'il soit leur nationalité, couleur ou origine, je la vois toujours comme quelqu'un avec qui je peux grandir, avancer. Peut-être qu'on me voit comme un têteux. Je ne pense pas.
Je pense qu'à la place d'avoir des rélations futiles, rélations soiréenes(j'aime bien créer les mots) je préfère en avoir une vraie. Je ne serais pas où (je pense) que je suis s'il n'y avait pas dehors de moi dizaines de personnes qui m'ont beaucoup aidé. Quel qu'il soit leur aide, je profite ce texte pour vous remercier et vous dire qu'un jour vous vous rendez compte que vous avez fait la meilleure chose dans celui jour où vous m'avez entendu la main.
Je ne pourrais pas citer des noms, car ça risquerait d'en oublier certains, mais si vous tombez sur ce texte, vous êtes surement y compris. Merci!
Je suis venu pour vous écrire les premiers mots d'un vainqeur. Les JO sont finis, mais j'ai reçu ma médaille d'or avant-hier par courriel(mon visa). Ainsi bien que tous les athlétes, j'ai dû attendre 4 ans et 4 putain de semaines ennyuantes qui m'ont fait chier. Désolé, je n'aurais pas dû écrire ces mots,ce ne sont pas des mots d'un homme de Lettres, mais plutôt d'un jeune qui a beaucoup attendu, souffert et travaillé pour réussir,d onc ce sont les meilleurs mots pour décrire ce qu'il sent dans ce moment.
Il y a quelques mois quand j'ai fait ce blog, j'ai écrit un texte nommé "Ce sont les rêves qui nourrissent la vie". Bon, là j'ai encore faim, car je viens d'atteintre mon but, j'ai enfin pu vous dire quand je vais commencer à faire mes études, quand je vais partir. What's am i doing now? To thanks.
Je dis toujours à mes potes qu'ils doivent faire une réseau social s'ils veulent vraiment "grandir", "changer". Je ne dis pas, "save money". J'ai dit: bouleversement. Pour qu'il y en aie un quand on est issu de la banlieue et d'une ville provinciale comme Salvador, il faut bien se préparer, bien maitriser ce que tu as en tête et savoir bien élargir sa réseau social.
Je vous explique pourquoi j'ai cité 2 fois cette même expression: je vois chaque personne comme un bras que je n'appartiens pas, donc à chaque personne que je connais bien, que je raconte ma vie, mes galéres et mes joies, je gagne un bras de plus. Quel qu'il soit leur nationalité, couleur ou origine, je la vois toujours comme quelqu'un avec qui je peux grandir, avancer. Peut-être qu'on me voit comme un têteux. Je ne pense pas.
Je pense qu'à la place d'avoir des rélations futiles, rélations soiréenes(j'aime bien créer les mots) je préfère en avoir une vraie. Je ne serais pas où (je pense) que je suis s'il n'y avait pas dehors de moi dizaines de personnes qui m'ont beaucoup aidé. Quel qu'il soit leur aide, je profite ce texte pour vous remercier et vous dire qu'un jour vous vous rendez compte que vous avez fait la meilleure chose dans celui jour où vous m'avez entendu la main.
Je ne pourrais pas citer des noms, car ça risquerait d'en oublier certains, mais si vous tombez sur ce texte, vous êtes surement y compris. Merci!
